À quelques mois de l’échéance présidentielle, une chose est sûre : le climat de campagne sera particulièrement réactionnaire. Dans les élections à venir, il est nécessaire de faire entendre une voix radicalement alternative à ce concert de professionnels de la politique, de complices dans l’exercice du pouvoir, de partisans des contre-réforme pour nous taper aux poches, réduire nos allocations ou nous matraquer, dès lors que l’on relève la tête. Cette voix doit être anticapitaliste et révolutionnaire, et donc écologiste, car nous devons nous battre contre un système et sa logique mortifère. Communiste parce que nous luttons pour une autre société, organisée autour de nos besoins collectifs et non des profits d’une minorité. Internationaliste parce que nous sommes résolument anti-impérialistes et nous combattons les coups portés par la bourgeoisie française aux quatre coins du globe. Antiraciste et féministe parce que nous combattons toutes les oppressions de ce système.